On croirait rêver ! Depuis peu la blogosphère se répand d’une littérature inconvenante et tout aussi inconséquente venant d’un pauvre hêtre ectoplasmique à l’existence évanescente autant que piteusement insignifiante.
par Obame D’EBOMANE
L’auteur de cette diatribe nauséeuse et d’une affligeante bêtise porte un patronyme à conséquence : Frank PING ! voilà un inutile social dans toute la splendeur de ce vocable menant un train de vie somptueux par délégation, mais sous perfusion qui se la joue censeur et donneur de leçons. Cet escroc vagabond et véritable prisonnier en sursis, depuis sa cavale ivoirienne s’octroie l’outrecuidance d’ouvrir son clapet.
Lorsque l’on est issu d’un cercle qui érige la honte et la vassalisation en vertu. Alors rien d’étonnant qu’un tel individu se permet de faire des procès en indignité et en déshonneur à l’endroit des personnalités respectables. Mais cette gloriole et cette fortune dont se vante ce gus. Il faut lui remettre en mémoire ce que savent tous les Gabonais.
Cette richesse n’est point tombée avec la pluie. Elle a été acquise de manière charnelle sous la couette et sur les oreillers. Ce Frank PING n’est-il pas totalement schizophrène ? Dieu ! tant d’impudence et même quelle imprudence d’oser ramener à la surface le nom de L’OMBALO bridé qui se terre aux Charbonnages, cependant que son nom circule avec insistance dans les tribunaux parisiens pour le dossier dit des biens mal acquis et à cela les précédents sont nombreux.
Alors, se revendiquer d’un statut de businessman international quand les racines sentent et le soufre, le stupre et la luxure. Vois-tu pauvre insensé, qu’il te faut raser les murs, car le poids de l’opprobre et de l’infamie ne te concède qu’une seule issue te cacher et surtout de la boucler. Toute cette litanie irrévérencieuse déversée sur les uns et les autres avec condescendance n’est hélas que le reflet de ce que vous êtes. Toutes ces outrances ainsi que les invectives prononcées nous rassurent sur un fait, c’est que tu sais de quoi tu parles, car simplement tu dépeins le sombre tableau de ce qui représente le mieux l’engeance diabolique que vous êtes, faite de duplicité, de félonie et d’absence de mémoire.
Jamais cupidité n’a rimé avec reconnaissance. Vous n’êtes que de vils serpents qui mordent la main qui les nourrit. Votre sort est inéluctablement acté. Vous finirez étouffé dans le magma glauque de votre venin. Pitoyables scélérats.