Ce jeudi 30 janvier 2020, les arbitres élites du Gabon ont passé un test physique nommé ‘’Yoyo level1’’ au stade de Nzeng Ayong. Organisé par la fédération gabonaise de football, ce test, vient mettre en avant les capacités physiques et athlétiques de ces derniers.
Par Clinton Mombo
La fédération gabonaise de football, plus que désormais soucieuse et tenue par l’obligation de réussite des arbitres lors des stages organisés par la FIFA/ CAF et de ceux organisés au niveau national. La Fégafoot a donc ainsi pris l’initiative d’organiser une série de tests afin de mettre les arbitres d’élites du Gabon dans les meilleures dispositions de réussite.
La fégafoot, par ce test de ‘’Yoyo level1’’ ouvre une fenêtre et fait espérer plus d’un. Elle ne tient plus à ce que les choses se fassent comme par le passé. Compte tenu du fait qu’elle est dirigée par un ancien arbitre, alors sous sa férule, la fédération choisit d’anticiper et d’apporter la lumière à ses collègues.
IL faut noter que ce test de ‘’Yoyo level1’’ de ce jeudi 30 janvier 2020, n’est que le premier d’une longue série. C’est un total de 19 arbitres dont 3 femmes qui ont pris part à ce test. Parmi eux, l’inamovible et toujours tonique, Eric Castane Otogo celui qui suscite l’admiration et le respect de la corporation.
IL nous a été donné de constater la présence du Chef du département, Mambana Diambou Jean Bernard, ainsi que du vice-président de la Commission Centrale des Arbitres (CCA) James Patrick Bimbyo et l’ensemble des instructeurs.
Dans son discours de fin de séance, l’instructeur FIFA/ CAF, Nziengui Dolivet, a montré sa satisfaction vis-à-vis des stagiaire qui ont tous été à la hauteur. Et il a fait savoir que ce test est une innovation dans le circuit. Désormais, à chacun de continuer de travailler pour la suite.
Au nom des arbitres, Eric Castane Otogo, a remercié les instructeurs pour le travail accompli. Et il fera remarquer que ces jeunes collègues représentaient la relève de l’arbitrage du Gabon et qu’il était nécessaire qu’ils imprègnent de ce concept nouveau.
Une préoccupation était présente dans tous les esprits : L’arbitrage est un métier, mais à quand sa professionnalisation au Gabon ?