Selon l’administrateur général de la ZES de NKOK rien de tout ce que l’ONG affirme n’est avéré, ni fondé. A bien y regarder. On n’a de la peine à situer et l’objectivité et la pertinence de cette investigation à charge.
Nous, nous apercevons qu’il s’agit ni plus, ni moins d’une écriture sur commande dont le but est simplement de nuire. Tout est travesti, déformé et pris sous le prisme d’une mauvaise foi résolue. La Zone économique de NKOK n’est nullement cet îlot de non droit où tous les excès et les abus sont commis quotidiennement.
Human Right Watch dans sa croisade d’intoxication ne se refusera aucun absolu même les plus abjects. Il est avancé des accusations d’esclavage, de maltraitance et de chimériques restrictions de libertés.
Il y a là assurément une volonté de nuire. A l’évidence, la réussite de ce projet phare de la politique du président Ali BONGO suscite des jalousies. Est-il utile de le rappeler ici ? Le Gabon en plus d’être respectueux des droits fondamentaux de l’homme dans la question des conditions de travail.
Notre pays a souscrit et adopté les grandes conventions internationales allant dans ce sens. En voulant grossir les traits d’une prétendue chienlit et d’une inobservance des droits élémentaires, Human Right s’est révélée comme étant la garde avancée d’une conspiration ayant des visées bien affirmées afin de ternir le Gabon d’une part et ainsi de décourager les nombreux investisseurs internationaux déjà séduit par la zone spéciale économique de NKOK.