Les travaux de présentation du rapport du Fonds Monétaire Internationalisé (FMI) sur les dernières avancées économiques de la région subsaharienne examinées en octobre 2018 ont été l’objet d’une curiosité scientifique dans l’auditorium de l’Université des Sciences et Techniques de Masuku (USTM) de Franceville.
Le 22 février dernier, Marcos POPLAWSKI RIBEIRO, représentant résident du FMI et l’économiste résident de l’institution, Justine Judith LEKOGO ont parlé des enjeux macroéconomiques régionaux, sous l’oeil attentif du Vice-Recteur Bill Raphaël BIKANGA et du corps enseignant sous les thèmes accrocheurs: « la reprise et les risques croissants de la conjoncture », « l’avenir de l’emploi en Afrique subsaharienne ». Notons que le gouverneur Eloi Nzondo a marqué sa présence.
Pour l’essentiel, le représentant résident du FMI, après la séance de questions-réponses, notamment la crise qui paralyse le Gabon, s’est montré très lucide: « la reprise de l’économie s’améliore ».
Nous estimons pour 2019 une croissance de 3,1% pour l’économie gabonaise. Mais il y a encore des risques et nous discutons sur comment améliorer la mise en place du programme. Avec son économie si diversifiée, le Gabon est en train de réduire sa dette publique ».
Dans cette optique, les écueils facilement explicables permettent d’attendre de ce pays qui va mieux beaucoup de financements de projets, voire aussi de bourses d’études qui les intéressent en tant qu’étudiants.