La prestation d’Ali BONGO ONDIMBA ce 31 janvier 2018 a brisé le long silence sur son état de santé et stimulé la curiosité des analystes politiques.
Tout en gardant la rigueur de l’analyse et la profondeur des présupposés aux événements politico-dramatiques, l’opinion se trouve aujourd’hui rassérénée.
Il s’agit de faire tomber le masque des mensonges du charretier qui jure sur tout et derrière lequel se sont abrités les rapports de force qui se sont multipliés en dépit de deux communiqués de la Présidence de la République. L’opposition qui forge une conception anarchiste d’un choix politique a usé et abusé de diverses approches témoignent de la faiblesse des débats.
La Politique ainsi que le projet de l’opposition mettent en évidence un curieux échec pour le menteurs corrompus jusqu’à la moelle. Ils prennent le temps de tourner en dérision les institutions politiques établies. Ils dépassent volontiers le champ de l’acceptable et de la tolérance, ils sont décevants aux législatives, ce qui ouvre la voie à leur exclusion mais ils enrichissent le rêve, vite tourné en cauchemar par le peuple qui croit aux réformes engagées.
Il y a de quoi tomber de haut: faiblesse? naïveté? On est tout sauf naïfs. Au-delà des dénégations de la réalité sur l’état de santé du Président de la République, l’intérêt de tous ces mensonges réside dans la prise de pouvoir par les renégats!
Ils ont réussi à faire frémir les populations. Le bon vieux cliché est la géométrie révélatrice des maux de l’opposition qui chante discrètement à la fraude, à la fausseté. C’est une étrange malédiction qui fasse ces menteurs invétérés, ces fossoyeurs de la réalité. Ils étaient à nantes, au non de l’illusion optique, mais ils n’ont pu dire la vérité. Voici que l’obsolescence se manifeste avec les affirmations gratuites de MORENA qui se veut au-dessus de la mêlée: en réalité culottée, s’interdisant de défendre la cause du peuple que celle de son ventre. cela n’aboutit qu’à des résultats décevants. MORENA n’a rien.
« Quatre pelés et un tondu » aurait en un bout du compte une maigre consolation. nenni! Paradoxalement, c’est une présentation d’anecdotes bâtis sur le même modèle; c’est une bassesse de taille.Cette fausse apparition pour raconter l’histoire d’un homme sortie de sa seule imagination pose problème. C’est tellement peu flatteur de parler du Chef que de s’intéresser à la Cité.
Consciemment le téléspectateur se range du côté de la vérité, voire s’identifie à Ali BONGO ONDIMBA. L’implacable mensonge de l’annonce de sa mort a fait dérailler bien d’esprits. En présentant les vœux, l’homme que les gens, sur le mode déclamatoire ont donné la mort, affirme que ce n’est pas un spectacle de marionnettes.
Il s’en moque de ces petits esprits de guignolade. Et tout remonte lentement à la surface, les menteurs sont dévoilés.