Sentant l’odeur de soufre venir et réalisant que le preux et vaillant libérateur du Gabon a décidé de décapiter l’ogre Delta synergie. Le » Noise Maker » Ali Bongo Ondimba veut détourner l’attention et l’intérêt que portent les gabonaises et gabonais sur les suites de l’audit commandé par le Président de la Transition Brice Clotaire Oligui Nguema par des balivernes et billevesées sur l’arbitraire qui pèse sur sa famille en sollicitant les Nations unies.
Par Teddy Ossey
La réalité est que peur et appréhension hantent le quotidien des Bongo et consorts qui voient depuis le communiqué 056 du CTRI, l’étau se resserrer inexorablement autour d’eux. Delta synergie était ce monstre aux contours indéfinissables, par lequel le clan des Bongo Ondimba siphonait goulûment tout ce que le Gabon possédait. Et le « Noise Maker » plus que tout autre, allait offrir table ouverte à la légion étrangère pour mieux l’aider dans cette prédation gargantuesque.
Le but avoué était que jamais gabonais autochtone ne trouve rien à grappiller. Subjugués, par leur toute puissance ces fossoyeurs du Gabon regroupés au sein de Delta synergie, ne pouvaient envisager et encore moins imaginer l’impensable, que fût la nuit du 30 août 2023 qui vit surgir Oligui Nguema et le CTRI pour sonner le glas de ce safari financier et véritable génocide économique.
Alors, quand Ali Bongo Ondimba s’autorise aujourd’hui à appeler les nations unies au prétexte d’une détention arbitraire de sa famille . Nous lui disons qu’il devrait se réjouir des privilèges qui lui sont encore accordés. Il ferait bien de se garder de trop éprouver la magnanimité et la commisération et des nouvelles autorités et de la population gabonaise qui n’est pas loin d’exiger son scalp.
L’ audit sur Delta synergie débouchera évidemment sur des poursuites judiciaires, et tous les ennemis du Gabon et leurs comparses répertoriés dans ses livres répondront de leur forfaiture, et surtout que le bras du CTRI ne vienne à trembler, car ces traitres à la nation et avec eux leurs complices devraient aller lire l’heure à gros bouquet. Y’Ali prépares-toi à aller tenir compagnie à ton fils nono et à Sylvie marie Valentin qui ne se souvient même plus d’avoir partager ta couche. Méprisable et pitoyable !