Franchement, ils sont impayables nos quatre mousquetaires se revendiquant de la société civile. Sans aucunement, vouloir leur faire offense. Il est que l’appropriation exclusive, de cette donne commune, devient à la longue un tantinet risible et totalement grotesque.
Par Obame D’EBOMANE
En ces temps d’inquiétude et d’anxiété, soyons reconnaissants à ces compatriotes, qui peuvent apporter de la légèreté, ainsi que, de la distraction dans un quotidien devenu si lourd et si triste. Corona virus oblige.
Soit, vous avez encore en mémoire, le grand vaudeville, que les inénarrables sires, que sont Jean Remy Yama, vous savez, celui qui est toujours réélu, mais là n’est pas le propos ici. Avec lui, Georges Mpaga, Marcel Lebama et Gislain Malanda. Tous les quatre avaient porté plainte contre le coordinateur général des affaires présidentielles, Nourredine Bongo Valentin.
Un motif vaseux et oiseux fondé sur une construction fictionnelle et chimérique. Les instances judiciaires ne sachant pas juger les lubies et encore moins statuer sur les inepties. Voilà nos doux rêveurs revenus à la réalité, qui hélas pour eux est faite de concret et de vérité.
Pensant s’en tirer à bon compte et donc, de continuer à diffamer sans frais. Mais voilà, tel un boomerang, il leur est signifié une plainte les visant. Ironie du sort, cette plainte-là contrairement à leurs divagations et affabulations, elle est fondée sur et par des faits réels. Nos adeptes de Don quichotte s’embarquent à nouveau pour une croisière où l’irrationnel et le saugrenu tiennent le haut du pavé.
Ces champions de l’apagogie vont semer des plaintes à tout va : A Libreville, à Paris et ils iront même jusqu’à Londres. C’est pour vous dire et d’ailleurs tout est dit.