Pendant que nous étions pétris d’amertume, et habités par une nostalgie poignante du fait de ce drôle de 17 août, qui approchait sans le traditionnel spectacle pyrotechnique, qui donnait somptuosité et éclats à la célébration de notre souveraineté par l’indépendance acquise. Notre hargne, ainsi que, notre exaspération étaient dirigés contre le coronavirus qui nous privait de cette liesse commune.
Par Obame D’EBOMANE
Encore, astreint par une irascibilité, qui malgré tout nous a conduit à la résignation et au fatalisme. Voilà que de l’hexagone, nous apprenons qu’une égérie de l’affabulation signant dans le torchon en sursis appelé Libération, s’est octroyée l’outrecuidance, de verser sa bile haineuse et son fiel abominable sur notre pays.
Nous avons plaisir ici, à rappeler à cette bande de gauchisants mal revenus du trotskisme le plus absurde, et toujours pas remis de leur maoïsme de pacotille, que ce n’est pas du Gabon, que viendrait une fois de plus le salut, qui les sortira du marasme et des affres dans lesquels leur feuille de chou est engluée. Si, hier par un concours de circonstance heureux, leur directeur de l’époque, Laurent Joffrin, à l’idéologie quinteuse avait réussi à renflouer les caisses de cette gazette exécrable, vouée à une cessation de parution certaine. C’est bel et bien au Gabon et à l’empathie, de même, qu’à la charité légendaire de ceux-là même qu’ils vilipendent aujourd’hui.
Comment oublier cette breloque dérisoire, pompeusement et outrancièrement intitulée Forum de Libreville, qui fut leur planche de salut, par le mirobolant pactole récolté. Et comme la providence est souvent facétieuse cette esbroufe les mène aujourd’hui devant la justice hexagonale.
Remontons le fil de l’histoire, car ce machin de forum n’est pas le premier acte de compassion, et de générosité du Gabon envers ces ingrats du journal Libération. Dans la décennie 80, la bérézina et le flop retentissant de Radio- Télé Libération, alors sous la direction de Serge July, n’évitera le naufrage, que grâce au Gabon. La mue s’est opérée par la création de la radio Tabala FM, installée dans un immeuble cossu du 18eme arrondissement de Paris, au pied de la butte Montmartre curieusement siège de cette lubie du journal Libération.
Alors aujourd’hui, que ce machin de libé n’est plus que spasme et léthargie. On concocte une stratégie du désespoir en voulant épouvanter les nègres. Le but étant un chantage honteux et abject. Leur silence contre un pécule vertigineux. Nous devons à la vérité de dire, qu’hélas certains compatriotes sont souvent complices de ces machinations. Nous leur opposons cette parole d’Omar Bongo Ondimba : Le chien aboie la caravane passe. Et déjà joyeux 17 août à tous. Bassé !