Pourquoi la sérénité autant que la raison semblent avoir désertées tant d’esprits. Tout est dans l’excès et dans la démesure. Au travers de quel prisme, tel fait est apprécié ou suscite -t-il une répulsion instantanée. Existe t-il chez ces esprits trempés au manichéisme un tant soit peu de résilience.
Devrait-on être coupable d’intégrer les nuances dans un jugement de valeur. Si l’émerveillement embrase mes sens que me faudrait-il faire. Accepter de devenir un philosophe ou bien me résoudre à apprendre à philosopher.
Alors, Je me range du côté d’Arthur Schopenhauer et je professes qu’il vaut mieux manifester sa raison par tout ce que l’on tait que par ce qu’on dit. A tout prendre, j’accepte la sérénité pour idéal et le trouble pour réalité.
Et Toc!