L’Association des Jeunes Emergents Volontaires (AJEV) vient de réaliser un coup de maître en répondant à l’écoute des besoins des populations gabonaises.
C’est ce que ce regroupement politique parrainé par le Directeur de cabinet du président de la République a voulu relever comme défis en collant à la réalité le concept patriotique de l’Appel à agir pour le bien commun.
Les objectifs étant clairement définis, une délégation conduite par le membre d’honneur de cette plateforme et ministre délégué aux sports, Arsène Nkoghe, a pris des contacts avec la population de la ville de Léconi dans la province du Haut-Ogooué, quelques jours après la confusion de l’éponyme opposé au partage.
C’est le premier acte de remise de matériel au profit des principaux bénéficiaires. La délégation qui a eu des orientations de Brice Laccruche Alihanga, connu pour sa légendaire générosité, toujours soucieux de ce mot d’ordre du chef de l’Etat Ali Bongo Ondimba qui prône d’être proche du peuple, a associé des donateurs parmi les membres de l’AJEV.
On peut citer quelques personnalités : Hermann Kamonomono, Ismaël Ondias Souna, Serge Akassaga, Alexandre Awassi de la province pour cette ultime étape qui a connu un succès retentissant à cause de l’aspect pratique et généreux de cet Appel. Un acte à ne pas confondre avec les vendeurs d’illusions qui n’ont rien à donner alors que l’AJEV a ciblé les chefs de quartier et de cantons Djouya, Louri et Djuoélé-Laboumi déjà identifiés pour représenter cette localité.
La réputation de cette initiative quoique modeste est saluée par les alto-govéens qui remercient chaleureusement les initiateurs et donateurs. Le vice-président de l’AJEV, Ismaël Ondias Souna a précisé l’importance de leur action : »Une façon pour AJEV de concrétiser la volonté du chef de l’Etat, être le plus proche possible des populations. »
Seize lits, seize matelas, des tonnes de produits pharmaceutiques, des équipements informatiques, des débroussailleuses, des costumes pour les chefs de quartier et de canton. Voici pour la notion de partage à contrario de ceux qui n’ont aucun message subliminal que lance BLA, une bonne illustration du vivre ensemble loin de l’insulte, de l’invective. Le Gabon n’ a pas besoin de cela.