Face à la virulence des propos de l’Appel à agir de dix opposants qui se définit comme une entreprise des indignés d’une planète Mars, l’AJEV après avoir travaillé en coulisses, a fait sortir une recette socialement réjouissante d’un vivre ensemble partagé.
Le Directeur de cabinet du président de la République s’est assuré un droit de regard en appelant les fils de la province du Haut-Ogooué à contribuer à cet édifice.
Ce tour de table s’est ouvert pour autoriser des hommes en vue d’afficher leur accord à la première étape de Léconi dans le Haut-Ogooué. Ce qui rend l’autre Appel à agir dans une position inconfortable alors que certaines populations se demandent à quoi pouvait bien servir une pratique stérile pour des acteurs qui ne proposent rien de bon en dehors de l’invective et de grognement haineux.
Beaucoup comprennent aujourd’hui leur stratégie agressive qui dénote l’ambition de provoquer à souhait de l’imbroglio et à terme du désordre. Ils imaginent étendre leur pouvoir de nuisance et sont surpris du positionnement diamétralement opposé de l’AJEV qui a su les devancer et supplanter cette véritable ambiguïté politicienne désormais caduque.
Ce n’est pas parce que l’initiative prise de manière unilatérale que peut avoir un bond d’un jour qu’elle le sera dans un mois. C’est un feu de paille qui a déjà rompu les amarres puisqu’ils n’ont même pas de fine connaissance des besoins du peuple, ils ne pensent qu’à leur ventre.
Une apparition que rien ne justifie. Cependant, un scénario de séparation en catimini n’est pas à exclure si l’on associe à leurs gesticulations la mise en garde du gouvernement que les petits esprits attribuent à de la menace. Or, la force doit toujours être à la loi. Preuve de leur inactivité, ils n’ont pas grand chose à partager en ce temps de crise où l’on reconnaît les siens.