RIDICULE ET TOUTE HONTE BUE ! PERSONNE N’EMPECHERA CERTES AUX RESEAUX DE FAIRE CE QU’ILS SAVENT FAIRE AU MIEUX : ETRE UN TERREAU DE FAKE NEWS ET DE MARIONNETTISTES !
Mais qui de l’espèce humaine peut-il prétendre ignorer le coup de bambou auquel nous expose une activité intellectuelle ou physique intense en amont et en aval d’une importante épreuve qui nécessite souvent des efforts au-delà du normal avant d’en savourer la gloire de la victoire ?
C’est le cas dans lequel se retrouve le chef de l’Etat, Ali Bongo Ondimba qui, à l’image de n’importe quel être de chair et de sang, peut tomber malade, accuser un coup de fatigue, rencontrer ses médecins et se soumettre à un repos sur la base d’une prescription des praticiens de la médecine.
Pour l’essentiel, il y a lieu de retenir que l’agenda du chef de l’Etat ces deux dernières semaines n’a pas du tout été de tout repos.
Hyper chargé qu’il a été de plusieurs conférences mondiales à caractère stratégique, cinq audiences au Palais du Bord de mer plus sept voyages à l’international.
Pour l’heure, l’on peut s’en douter, au vu des brillants résultats engrangés par le PDG dont il est non seulement le premier responsable mais surtout en tant que principal artisan de la stratégie qui se révèle gagnante aujourd’hui, Ali Bongo ne mérite pas mieux que de savourer les délices de Capoue face au raz-de-marée réalisé par son parti.
Ce n’est pas par hasard encore moins fortuit si au PDG l’on se réveille avec un cœur léger et un sourire aux lèvres au terme du 27octobre dernier, épilogue du deuxième tour des législatives 2108.
Ayant tiré les enseignements d’août 2016, c’est en lui-même et sur fond d’une analyse froide et d’un examen approfondi sur le tares et le fonctionnement du parti, que le président de la République a su trouver la stratégie d’éloigner toute velléité de conspiration en mettant hors d’état de nuire les loups tapis dans la bergerie.
Première étape : combattre en interne et dépoussiérer le parti de ses vieilles pratiques à la racine.
Sont par la suite entrés en jeu dans cette logique, les experts nationaux et les observateurs internationaux de la scène politique gabonaise avec en prime la mise en œuvre d’une stratégie cohérente et pragmatique visant à mieux jauger et apprécier le poids et les réelles forces du paysage politique gabonais.
Sans fausse modestie, on peut dire aujourd’hui que le pari a été gagné. Le PDG a triomphé haut la main et sans bavure. Leçon ?
Lorsque le courage et la force de transcender et transformer les choses sont supérieurs à ceux des vendeurs de mirages et de maitres chanteurs, ni le temps ni la victoire ne se trompe de camp.
Certes, elle est bien étroite la voie qui mène au paradis et souvent jonchée d’embûches dont l’excès de fatigue ou d’autres anicroches, mais il n’en demeure pas moins vrai que la stratégie réfléchie et proactive mise en place par le chef de l’Etat n’a d’égale que la satisfaction de voir enfin le bout du tunnel marqué par la clarté du jeu politique dont les contours se dessinent devant nos yeux. Sauf à dire qu’on porte des œillères !
Fini l’imposture de l’opposition gabonaise qui doit désormais faire profil bas. Sans ambiguïté aucune, le peuple a clairement choisi son camp.
La majorité des candidats du PDG ont tiré leur épingle du jeu et sortent vainqueurs selon l’arithmétique électorale couvrant les quatre points cardinaux du Nord au Sud, de l’Ouest à l’Est.
On estime à au moins 120 la moisson de députés PDGistes qui sortiront des joutes du 6 et 27 octobre dernier. Le CGE confirmera ou infirmera.
A-t-on encore besoin d’un dessin pour clore une fois pour toutes la panoplie de contentieux électoraux de cette dernière décennie où le mensonge et la manipulation de l’opinion embrigadaient les esprits d’une partie du peuple gabonais ?
Au nom de quel peuple les opposants peuvent-ils encore pérorer et quelle victoire les partisans du président élu d’Ombwé peuvent-ils encore revendiquer ?
Sans discontinuer, pendant presque un mois, le président de la République n’a eu à ménager aucun moment de son temps pour vendre la destinée Gabon auprès des investisseurs du monde entier-Londres, Washington, Dubai, Pékin, tout en mettant en avant le leadership de notre pays sur les questions environnementales.
Si près et si loin, il ne s’est en aucun moment déconnecté de son téléphone pour suivre le fait électoral au pays où la stratégie du PDG ratisse de plus en plus et fait florès auprès des masses.
Comment peut-on s’étonner de le voir ainsi épuisé par cette fatigue physique, raison de son repos, lui qui qui ne s’est jamais réclamé d’une espèce autre que celle humaine, à la suite d’une telle débauche d’intenses activités ?
L’essentiel à mettre en avant aujourd’hui est que les anciens compagnons et caciques du PDG ont été lourdement terrassés par Ali Bongo Ondimba devant la victoire de qui ils refusent de s’incliner. Etape cruciale en effet et cap vers 2023!
Du coup, auréolé par les résultats écrasants de son parti aux législatives, le président de la République devient le seul maître du jeu politique national et s’ouvre par voie de conséquence le chemin royal vers la présidentielle de 2023.
A savoir également que dorénavant seul ce qui profite à l’ensemble des Gabonais -l’intérêt général- pèsera sur la balance ou dans le discours politique du Gabon d’après 2018.
Aucun argument autre que celui reposant sur les résultats qui touchent l’ensemble des Gabonais ne triomphera plus jamais dans le Gabon pour arracher les voix des populations de nos jours suffisamment édifiés.
L’invective, les coups bas, les mirages adossés aux arguments ad hominem sur fond des caricatures développés par l’opposition ont étalé leurs limites à convaincre les Gabonais sur leur capacité à transformer le pays de fond en comble.
L’on ose croire que les mauvais perdants qui se délectent une fois encore à surfer sur sa mort via les réseaux sociaux n’auront pas la malchance de croiser le fer avec l’animal politique qu’est Ali Bongo Ondimba encore moins affronter son ombre.
Que les uns et les autres sachent que sur le chemin qui mène en 2023, Ali Bongo Ondimba agira en vrai Minotaure, qui ne fera qu’une bouchée de tous ses adversaires. Pour dire vrai, il n’aura pas d’adversaire !