L’édile de Libreville, Léandre Nzué a tenu ce jour une conférence de presse à son cabinet de travail. Entouré du premier maire adjoint, Serge William Akassagha et de la directrice générale des finances de l’institution municipale. Dans cet échange avec les médias, Leandre Nzué aura été sans nuances, ni langue de bois.
Par Obame D’EBOMANE
Sans poncifs, ni truismes et loin de se livrer à un exercice de justification et encore moins de dénonciation des affabulations, des allégations ainsi que des rumeurs colportées avec véhémence par les réseaux sociaux et une certaine presse acquise à ceux qui se veulent des contempteurs du maire.
L’homme dans sa faconde et sa gouaille habituelle aura été sans détours, ainsi que, sans éléments de langage superflus, mais par des propos simples, limpides et clairs, il a donné des explications sur les procédures et les normes, qui régissent l’administration financière de L’hôtel de ville.
Le Maire avec finesse et pédagogie, à édifier l’assistance sur la masse salariale, extraordinairement fantasmée par les élucubrations des uns et des autres. Avec subtilité et même une pointe d’ironie, il prendra à témoin le passé de la cité et constat sera fait, que de chaque mandat, la masse salariale est une donne permanente donc un véritable serpent de mer.
Léandre Nzué, a tenu dire et à remercier le Chef de l’Etat, Ali Bongo Ondimba, pour l’accompagnement permanent et spécifiquement sur le retour des prérogatives, de la gestion de la collecte des ordures aux collectivités locales. De même, il soulignera le soutien et l’apport inestimable de la première Dame Sylvia Bongo Ondimba. Julien Nkoghe Bekale, sera cité et reconnaissance lui est témoignée par l’édile de la cité-capitale.
Avec hauteur et même une certaine philosophie, Léandre Nzué a su situer les origines et les causes de la cabale honteuse et ignominieuse contre lui. Il s’est dit déterminé et habité par la seule volonté de réussir le challenge, que les librevilloises et les librevillois lui ont confié : La prospérité de la ville, son rayonnement et son attractivité. De même qu’il s’est dit animer, par le devoir impérieux et exaltant d’honorer la confiance placée en lui, par le président de la république.
Avec élégance et distance, Léandre Nzuè, a tenu à rassurer ses administrés de ne point se laisser distraire, par des complots et des accusations infondées. Le ton était courtois. Le discours sans équivoque. Les faits éloquents et les preuves patentes se sont retournés en boomerang envers les calomniateurs invétérés.