Comme le chantait Michel Sardou célèbre interprète français, nous sommes résolument dans l’air de l’absurdie. Ce néologisme, un peu niais est ce qui s’approche du monde dans lequel vit et pour être plus exact où croupit un galapiat et névrosé notoire atteint de flux alvin et d’écoulement verbal chronique.
Par Teddy Ossey
Le cas de cet internaute car c’est ainsi que se définissent ceux qui ne peuvent revendiquer ni statut social, ni parcours académique et même pas une once de recommandation professionnelle. Comment aurait-t-il pu comprendre que le F B I dont il se dit l’œil a été façonné par J. Edgar Hoover à des fins de police et de missions internes exclusivement sur le territoire américain.
Il est naturellement impossible à cet épouvantail d’accéder à de telles subtilités car il faut un cerveau pour cela. De mémoire de gabonais, je n’ai jamais vu, mais alors jamais vu un quidam être autant en délicatesse avec le Français. Il y a dans ce qui se présente comme des posts, plus de fautes d’orthographe que mots. Et ça se dit être résident français. Au secours Général De Gaulle revenez car sur vos terres de France on y parle désormais l’éspéranto et le volapùk intégrés. Il est urgent de réactiver la guillotine.
Fasciné par le lugubre et le gore, cet histrionique s’est trouvé une vocation aussi macabre et funeste que son existence évanescente et insignifiante : Annoncer à intervalles réguliers la disparition du Chef de l’Etat. Le sort de cet ersatz thanatophile et nécrophile aux pulsions bordelines et perverses est pathologique.
C’est ici le propre de ce que la psychologie allemande nomme : Hatlos. Surtout que personne n’aille réveiller Sigmund Freud alors laissons ce vaurien gigoter dans les vomissures exécrables et nauséeuses du vide sidéral qu’est sa piteuse et méprisable vie.