Devrait-on accepter et tolérer l’outrage, l’insulte ainsi que l’irrévérence la plus éhontée au prétexte convenu de la différence idéologique ? Nous disons non et non ! L’opposition d’idées ne peut se réduire à la calomnie, à la diffamation gratuite ou à l’injure. Tout ceci est inacceptable et inadmissible. De quelle politique s’agit-il ? Quand la seule argumentation est de spolier et de souiller de la manière la plus abjecte la respectabilité et l’honorabilité de gens envers lesquels aucun grief personnel n’est fondé.
Par Obame D’EBOMANE
Nous cherchons la pertinence et la mise sur le bûcher de la famille Bongo, dans les diatribes et les délires du quidam qui ô parjure suprême, prétend parler au nom de la jeunesse patriotique gabonaise. Il déverse une litanie d’insanités et d’opprobre, qui fait de lui, sans autre forme de procès un client de la sphère du répréhensible.
Cet huberlulu à l’esprit détraqué et véritablement pris dans un égarement psychotique, vient à faire parler les morts. À porter des accusations et des affirmations d’une gravité insoutenable. Au-delà, de l’immiscion malsaine dans des relations familiales, qu’il peint de sa sottise et de ses élucubrations névrotiques. Ce triste individu, va jusqu’à impliquer des hautes autorités d’un pays voisin comme si elles avaient avec lui, des conversations qui relèvent de la confidence. Et du secret.
Toutes les digues ont cédées et toutes les limites sciemment et volontairement franchies. Tant d’hardiesse dans l’outrage, l’effronterie et l’outrance ne devrait récolter que châtiment, expiation et condamnation par la loi avec la plus extrême rigueur. Ne dit-on pas que c’est dans le châtiment que l’inconscient lit sa faute ? Et la sagesse russe de renchérir en disant : A péché d’or, châtiment de plomb !