Seuls les convertis et les convaincus peuvent nous expliquer, ce que le patron du groupuscule dénommé Coalition pour la Nouvelle République, avait à faire passer comme message. En réalité, le confinement ajouté à l’oisiveté a irrémédiablement accéléré la confusion dans les appréciations et aussi une perte totale de cohérence dans le discours. Même avec la plus grande des résiliences, il nous faut, souligner ici, les effets inexorables du temps qui passe.
Par Obame D’EBOMANE
Jean Ping devrait trouver un autre moyen pour tromper l’ennui. Comment s’extirper de ce sac de contradictions, en prônant dans le même temps, la démocratie et l’absolutisme le plus hermétique. Qu’est-ce- que ce bouillon infect et indigeste, dans lequel marine us et coutumes travestis. Les récriminations, tout comme, les condamnations attendues sont un ramassis de truismes, de poncifs et de délires empruntés, aux esprits les plus obtus et rétifs.
Devons- nous faire abstraction de la vacuité de concept politique, qui désormais qualifie le jean des charbonnages. Ce donquichottisme niais et absurde, qui le rend pathétique de par les ennemis fictifs, qu’il s’invente. Visions, mirages et illusions entraînent notre cher okoka dans une tourmente fictionnelle, et dont les protagonistes sont désignés par une épithète aussi vaseuse que saugrenue : La bande à Sylvia.
Elle est au gré des hallucinations de Ping, tour à tour, députés à l’assemblée nationale et sénateurs à la chambre haute du parlement. Le grotesque et le ridicule ne s’arrêtent pas là, car c’est elle aussi qui promulgue les lois.
Ne riez pas, cette bande est en complot permanent contre le Gabon. A cela, nous n’avons qu’une chose à recommander, et cela par dignité humaine et charité chrétienne : Laissez Jean Ping hiberner en paix et se bercer de ses douces illusions. Il nous faut, voir certains ngangas et organiser un grand ngozé pour Jean le bridé, car tout compte fait, il est quand même des nôtres.