Prenez ceci comme il vous conviendra. D’ici, nous entendons déjà les salves de réprobations, et même plus encore, nombre d’assassins en pensées et autres salafistes impénitents décochant des fatwas funestes et irréversibles à notre égard.
Par Obame D’EBOMANE
Depuis que le Chef de l’État a entrepris de descendre sur le terrain pour voir et constater, et nous voulons préciser ici, que ce n’est pas à la suite d’une quelconque pression mais en toute responsabilité et devoir. Et voilà que la toile, les réseaux sociaux et le papier gras d’une certaine presse, se livrent à des incongruités affligeantes et à des véhémentes aberrations.
Aussi loin que remontent nos souvenirs de citoyen « béotien ». Nous ne trouvons aucune trace d’usagers, ni de riverains montant des piquets et autres barricades, sur les voies et chaussées défoncées et impraticables en toutes saisons. Nous recherchons toujours le nom du leader, qui aurait pris sur lui d’incarner cette cause. Il ne nous est jamais venu à l’oreille le moindre soupçon de marche, ou autre manifestation. Pourtant notre histoire récente nous apprend, que si Zach power, le patriarche de l’Union Nationale s’est retrouvé éjecté du cercle des élus, c’est bien à cause de ce qui lui était réservé, un tour pendable véritable tsunami humiliant, du fait de son échec à nous cadeauter de routes.
Tous les hurleurs et pamphlétistes si volubiles, ne réclament jamais la démission ou la mise en débet de tel ministre ou autre, qui se serait autorisé des libertés avec le pognon de la route. Rien de tout cela.
Aujourd’hui, que le Président décide de ne plus laisser faire. Voilà que les ayatollahs de l’immobilisme viennent nous abreuver avec des sottises de calendrier, ou de prétexte pour couper des têtes. La vérité est que la peur et l’anxiété habitent désormais, tous ceux qui ont plongé la nation dans ce marasme. Ils ont privé et volontairement retardé le progrès et le développement du pays. Nous ne disons qu’une chose, qu’il ne soit fait aucune concession, et que ces crimes restent imprescriptibles. Les sanctions doivent égaler la forfaiture.