A voir l’acharnement ainsi que la violence des critiques et récriminations portées contre le conseiller porte- parole du Président de la république, Jessy Ella Ekogha. On est amené à penser, qu’une fatwa pour éviction est lancée contre ce compatriote. Les griefs nombreux, autant que, les innombrables revendications fusant de toutes parts. On se perd dans cette pléthore vindicative.
Par Obame D’EBOMANE
Ce réquisitoire virulent et à charge, ne lui consent pas la moindre excuse. La potence est érigée. Le plaidoyer des inquisiteurs a donné lieu, à une sentence, qui est sans appel. Il y a là pêle-mêle, tortionnaires ivres de réprobation et bourreaux à l’exécution facile. Le sort du supplicié est scellé.
– Défiance et outrecuidance en surfant au-dessus d’un membre du gouvernement.
– Confiscation et captation outrageuse des budgets de communication du Copil.
– Concussion et favoritisme aggravé envers certains titres élus.
– Défraiements octroyés en peccadilles lors des conférences de presse.
– Traitement anémique et asphyxie volontaire de la presse privée.
– Acte de désinvolture coupable envers la très redoutée Haute Autorité de la Communication.
Il ne vous aura pas échapper, que de tout ce qui précède, absolument rien d’excessif, n‘est à relever. Avant que l’irrémédiable ne survienne. Pensons à demain. Lorsque la providence et les cieux, par leur clémence et magnanimité, nous sortirons de ces moments d’angoisse.
Aussi aux accusateurs irascibles et compulsifs, nous vous prions, d’avoir de la retenue et de faire preuve de commisération à l’égard de, Jessy Ella Ekogha, des fois que vous vous tromperiez de guerre et cela, c’est déjà vu.