Pour nombre de compatriotes qui avaient pris sur eux de jouer au yoyo avec l’argent destiné au bien-être, au développement et à l’émergence du pays. Désormais les nuits sont longues et les jours hantés par des fantômes aux noms redoutables et implacables de DGR, B2, PJ et autres services spéciaux.
Par Obame D’EBOMANE
Nous voulons ici en rajouter à leurs angoisses et cauchemars en précisant que ces entités sues_nommées ne sont guère des abstractions et qu’en rien elles ne sont ectoplasmiques. Ils ne se réveilleront pas de ce cauchemar qui sous peu sera leur quotidien. Diantre ! Vouloir distraire près 500 milliards de Fcfa, en condamnant la nation toute entière dans la paupérisation, l’incertitude et le sous développement, cela est certainement le crime le plus abject et le plus abominable.
Le vœu ardent, ainsi que le souhait de toutes les gabonaises et gabonais, est que le bras de la justice soit extrêmement vigoureux, et que jamais mais alors au grand jamais il ne vienne à trembler. Fini les supputations et les soupçons. Toute cette cohorte d’ennemis de la république est connue.
Ces aigrefins par leur complicité et diablerie souterraine, se terrent dans les commissions d’attribution de marchés, au contrôle financier, à la direction générale du budget, à la certification du service fait et là où les pseudos réceptions se sont opérées. A toutes les échelles les noms et les qualités des signataires existent.
Leurs comparses et véreux entrepreneurs méritent le même sort. Ça et là, les fameuses avances de 30 pour cent avaient déjà servi pour huiler la machine à plomber le Gabon. Une fois encore nous louons et nous nous félicitons de l’action de la Task force sous la houlette du coordinateur général des affaires présidentielles, Nourredine Bongo Valentin qui a mis à nu et enrayé ce génocide financier dont le coût social et humain allait assurément plonger notre beau pays dans les abîmes et la tourmente. Tous à ‘’NGATA’’ et le Gabon ne se portera que mieux.