Appelant à l’action, c’est le Centre de la Fondation Ford pour la justice sociale à New York qui a été le théâtre de l’importante conférence de l’Organisation des Premières Dames d’Afrique pour le Développement qui a réuni des personnalités de haut rang ainsi que des leaders influents pour débattre du thème Nous sommes égaux : Amplifier le changement grâce à la collaboration.
Par Franck Mohamed
La contribution de la First Lady Zita Oligui Nguema a marqué tous les esprits par sa pertinence soutenue et son éloquence admirable. Le mérite premier de cette prestigieuse réunion est qu’elle a permis d’apprécier de manière conséquente les efforts inlassables déployés par l’OPDAD afin de promouvoir l’équité entre les sexes sur le continent africain.
Il faut reconnaitre que sur cette thématique sensible la détermination de même que l’engagement de Zita Oligui Nguema sont marquées du sceau du marbre au regard de son implication exponentielle pour cette cause au Gabon. Aussi c’est avec une parfaite maitrise et une connaissance avérée de ces problématiques spécifiques que Zita Oligui Nguema a fait une contribution de haut vol qui n’a pas manqué de sidérer l’assistance.
Il est important de relever que la campagne de l’OPDAD se situe sur quatre axes prioritaires qui sont les soins de santé, la violence sexiste, l’éducation, et l’autonomisation economique. Ceux-ci sont pleinement présents dans la détermination qui guide l’action de la First Lady Zita Oligui Nguema. La transposition de ce sacerdoce dans la lutte pour l’égalité genre et de son corollaire le développement en Afrique aura été chose aisée pour elle.
Rappelons qu’elle aura fortement insisté sur la nécessité de créer des lois plus strictes et plus contraignantes sur l’impératif renforcement des actions de soutien envers les victimes. À New York son credo qui clame que «Chaque femme mérite de vivre sans peur», aura résonné avec un écho particulier et ce vibrant appel à plus de justice et d’équité pour les femmes du continent est une injonction à agir et toute la communauté l’a compris comme tel.