Je tiens à saluer tous ceux et toutes celles qui m’ont houspillés, tancés, injuriés, insultés vilipendés et j’en passe.
Par Obame D’EBOMANE
Comment ne pas m’incliner devant tous les autres encore bien plus nombreux qui ont promis me punir dans ma chair. Juste une petite précision pour tous ces meurtriers en pensée et assassins en intention, ce n’est point avec ma langue que j’écris car vous, vous êtes donné pour mission de me l’arracher.
Par tant de sollicitations funestes, je ne veux retenir que l’intérêt que vous portez à ma modeste contribution dans une réflexion globale. Alors avec charité et bienveillance je vous dis merci et sans condescendance.
Je ne suis guère l’auteur de cette haine absurde que vous me vouez. Les mots qui suscitent tant d’émoi en vous ont été pensés, écrits et pour finir dits par vos démiurges et autres gourous.
De ce qui est des faits, je me suis borné à les analyser, à les disséquer, les examiner, les décortiquer, les scruter et même à anatomiser les inepties et autres arguties présentées comme des appréciations politiques.
Tenez-le vous pour dit, il ne me manquera ni la force, ni la volonté de dénoncer et de condamner vos seigneurs de l’absurde et de la sottise. J’ai une répulsion épidermique et instantanée contre tous ces propagateurs du morbide à l’âme fascisante.
Moi je rêve d’un Gabon en lettres majuscules nimbé de lumières étincelantes dans le concorde. Et vlan !