Si l’effet genre connaît une amplitude particulière et une effervescence à nulle autre pareille, de par la promotion ressente de madame Rose Christiane Ossouka, comme première femme Chef de gouvernement au Gabon.
Par Obame D’EBOMANE
On pourra parler d’une constance, avec Marie Madeleine Mborantsouo, présidente de la Cour constitutionnelle et aussi relever, que la plus haute chambre du parlement : le Senat, est dirigé par madame Luicie Milebou Aubusson. Une accentuation notable vient encore d’être faite, lorsque le Chef de l’Etat, Ali Bongo Ondimba, désigne Murielle Massala, comme Ambassadeur à Paris, l’une des places stratégiques de notre diplomatie.
Cette distinction ascensionnelle de la femme gabonaise, tend à faire passer sous silence, le grand renouvellement de l’élite politique, avec des jeunes compatriotes aux commandes dans toutes les sphères de décisions. Il nous faut ici, louer et saluer, ces engagements tenus par le Président de la République, Ali Bongo Ondimba. La promotion, autant que la reconnaissance du mérite sont manifestes chez la femme gabonaise, mais également au sein de la jeunesse nationale. Un juste rappel non exhaustif nous amène à citer : le Dr Guy Patrick Obiang Ndong, Brice Constant Paillat, Marc Logan Nan Nguema Tchango, Mohamed Ali Saliou, Jo Dioumy Moubassango, Max-Samuel Oboumadjogo, Noureddin Bongo Valentin, Jessy Ella Ekogha, Igor simard Nyambé, Serge William Akassaga, Karim Nziégui… Il est évident, que l’espace de cette chronique, ne pourrait contenir la liste fastidieuse, des jeunes gabonais distingués par leur profil et leur savoir-faire.
Nous vivons un Gabon en permanente mutation, baigné d’expériences nouvelles, et qui, conquiert des espaces d’excellence chaque jour et davantage, sans besoin de faire, ni une transition et encore moins une révolution. Le Gabon a son génie propre et il vogue au rythme qui lui sied.