Hier Samedi, Serge William Akassagha, le premier adjoint au maire de Libreville était dans le troisième arrondissement de la capitale à la rencontre de son électorat. C’est le quartier bellevue 2 qui a reçu le secrétaire général adjoint du parti démocratique gabonais.
Par Obame D’EBOMANE
Dans son style singulier qui le distingue, l’élu tout en remerciant l’assistance a fait une revue générale de l’atmosphère politique de l’heure. Dans ces moments de partage et d’échanges, il a tenu à nommer les faits sans artifices, ni langue de bois. Il a fustigé les errements, la fourberie et la duplicité de ceux qui ont abusé le peuple et spolié la nation sous prétexte de leur proximité d’avec le Chef de l’Etat.
Aussi, sans ambages, ni états d’âme s’est-il félicité de la mise en place de l’opération scorpion. À l’endroit de ses contempteurs, il a tenu à rappeler que de tout temps et en tout lieux, il a toujours été aux côtés du Président Ali Bongo Ondimba. IL est et restera un hussard du Chef de l’Etat au service de la nation. L’élu du troisième arrondissement s’est dit heureux et ravi du retour de son Champion sur la grande scène de la politique internationale comme l’atteste le dernier sommet des Chefs d’Etats de la CEEAC.
Serge William Akassagha a déclaré être surpris par du procès en sorcellerie instruit par des esprits chagrins. Comment comprendre ce délit de patronyme pour lequel un jeune gabonais serait contraint et condamné au chômage du simple fait qu’il s’appelle Nourredine Bongo? Les censeurs de l’avant veille lui refusent toutes qualités et compétences? Aussi, marque -t-il son étonnement du silence de ces dernier qui n’ont jamais pipés mot sur les Maganga Moussavou père Vice président, fils ministre et épouse député. IL s’interrogera de même sur la famille Ndaot, père président du Conseil National de la démocratie et fille ministre.
IL poursuivra sur bien d’autres cas d’égale nature. En remontant l’histoire récente de notre pays. IL remettra en mémoire Jean François Ondo et son fils Bonjean François Ondo ainsi que Samuel Minkoet Henri Minko. IL videra ce débat mesquin en le jugeant sans intérêt et absurde. À titre de rappel et en communion avec l’assistance, constat à été fait en soulignant que Jean Pierre Lemboumba Lepandou et Jean Rémy Pendi Bouyiki ont été aux mêmes fonctions. Ni l’un, ni l’autre ne sont devenus président.
Pour finir, il a galvanisé les troupes à travailler davantage sur le terrain et de continuer à raffermir les idéaux du PDG afin de garantir le leadership du parti et d’accompagner le distingué camarade dans son oeuvre pour un Gabon meilleur pour tous.