A l’origine d’interminables querelles auparavant, désormais le nouveau code du travail, en passe d’être adoptè, met l’équilibre socio-professionnel au centre de son application dans le monde du travail.
Par Franck Mohamed
Le ministère de l’Emploi peut se réjouir de la nouvelle réforme du code du travail encadrant cette activité, le travailleur peut lui de son côté, avoir le sommeil tranquille.
En effet, réajuster après les soulèvements et les mouvements d’humeur d’il y a quelques années observès par les partenaires sociaux du privé, le nouveau code du travail offre les garanties d’une flexibilité des droits et devoirs des employeurs et des travailleurs au sein du secteur privé.
Voila l’apprèciation que l’on peut tirer des onze grandes innovations appréciables de ce code. Entre le dialogue sociale en entreprise, la lutte contre les discriminations, l’ouverture du marché du travail à d’autres composantes des travailleurs, la flexibilité des contrats, l’assouplissement des cas de licenciement et l’employabilité préférentielle aux nationaux, pour ne citer que ces points, le nouveau code du travail conforte l’équilibre socio-professionnel entre les besoins des employeurs et ceux des travailleurs dans un environnement pacifique.
Le dialogue s’établit comme socle entre les trois composantes que sont : État, Syndicats des travailleurs et représentant du patronat. Aussi faut-il admettre que son application crée une nouvelle synergie des positions au sein des entreprises.