L’une des gangrènes majeures de certains pays africains reste l’église (bonbons pasteurs, faux prophète et l’église catholique).
Par David B. Huace
Au Rwanda, le président Kagamé qui a bien compris ce problème et qui le prend très au sérieux, est à l’oeuvre pour mettre de l’ordre dans ce domaine.
L’église catholique étant très impliquée dans le génocide rwandais, elle est discrète pour l’instant. Mais il la tient à l’oeil.
Au niveau des autres confessions, le président Kagamé a dû faire fermer plus de 6.000 églises (vous avez bien lu, 6.000 églises diverses dans le petit Rwanda) dont les pasteurs n’étaient pas académiquement qualifiés pour conduire une église.
Les africains devraient apprendre des problèmes des autres. Mais paradoxalement, la mentalité la plus répandue, surtout chez les francophones, c’est que les mauvaises choses n’arrivent qu’aux autres.