Nous devons nous opposer avec la plus vigoureuse énergie contre cette infamie honteuse faite à notre beau pays. Nous avons à nous élever contre cette forme rampante d’asservissement par des procédés rétrogrades.
Par Obame D’EBOMANE
Nous devons dénoncer et pour les stigmatiser tous les scarificateurs et tous les pollueurs de notre charte morale et d’éthique. Ils nous faut être intraitables et non conciliant quand ces actes sont posés par ceux qui hier à peine se passaient pour le recours et se posaient en rempart.
Ne vous en déplaise le Gabon est une République. Ali Bongo Ondimba est le Chef de l’Etat du Gabon et à ce titre il est de toutes les familles gabonaises. Maintenant vos querelles de popotes, des canaux d’irrigation d’argent qui ont tari alors bienvenu dans le réel de tous gabonais.
Au quartier aucun kongossa n’est venu nous troubler racontant que l’on vous ait tous autant que vous êtes interdit de vous rendre à Riyad ou plus tard à Rabat. Pourtant nous avons été abreuvés de mûres et de pas vertes. Cet aréopage rien que par sa composition était pathétique et si peu désintéressé.
Il me grattouille de ressortir les échanges fleuris entre tel père et sa telle fille. Non, non arrêtons les frais ! Ce spectacle pitoyable d’une barricade à l’entrée de la résidence du Chef de l’Etat toujours convalescent mais avez du temps pour des détails si humains.
Ceux contre lesquels vous dirigez votre courroux aujourd’hui sont hélas aussi ceux qui vous connaissent le mieux. Le temps est un dieu facétieux. De vous voir ainsi soulage le commun des gabonais et revisitons la bible : Vanité des vanités tout n’est que vanité.