Pour le CGAP, il faut une adéquation parfaite entre les engagements pris et les attentes des populations. Et cela doit absolument s’apprécier par La culture des résultats et l’accélération dynamique qui soustend les objectifs souhaités par le Chef de l’État et dont Nourredin Bongo Valentin tient à conduire et concrétiser en refusant les intentions et la parole mais en privilégiant les actes et le concret.
Par Obame D’EBOMANE
Il n’est point besoin d’ergoter les faits sont là patents et éloquents. Depuis que le CGAP est en fonction son engagement et son implication ont été positivement impactant et ce de manière transversale. Il va de soi que ce haut niveau d’exigence désormais imposé ne peut arranger les chantres de l’immobilisme. Au moment où l’intégrité et la probité sont érigées en principes sacerdotaux.
Sans vouloir être facilement laudateur. Il est pourtant imparable et absolument impossible de ne pas reconnaître l’action salvatrice qu’est l’audit de la dette publique intérieure. La Task force sous la supervision de Nourredin Bongo Valentin a mis un terme aux pratiques souterraines qui hypothéquaient le développement du pays.
Cette task force a dissout plus de deux tiers des sommes réclamées au Gabon, car étant simplement fictives. Il est ici question de plus de 400 milliards de francs cfa (671 millions d’euros). Sur cette lancée, nous pouvons estimer qu’il donnera un bond qualitatif au processus de l’accélération et de la transformation économique et sociale du pays.