Avec une sordide jubilation et un empressement de charognes. Quelques égarés thanatophiles ont inondé la toile en annonçant Brice Laccruche Alihanga aux urgences de l’hôpital militaire sous assistance respiratoire.
Par Teddy Ossey
Avons-nous affaire à des personnes sensées ou à des hyènes nécrophiles qui se repaissent de sang. Ecœurés, haineux et déboussolés par le déferlement d’affection et d’estime, dont Brice Laccruche Alihanga a été l’objet partout à travers le pays, où il s’est rendu pour porter la parole de son patron Ali Bongo Ondimba.
Ces misérables hêtres aux cerveaux détraqués ne trouvent rien de mieux, que de s’installer dans le ridicule et la bêtise. Comment l’amertume et la rancœur peuvent ainsi avoir quitté vos cœurs et vous ôter toute humanité au point de souhaiter à autrui les affres de la maladie. Quelle en est la raison ?
Parce que son travail est apprécié par son Boss et partant de la majorité des gabonais. Est–ce parce qu’il est pragmatique, simple et nullement hautain comme tant d’autres zèbres sans tâches ? Il parle aux gabonaises et gabonais dans le langage qui est le leur avec leurs mots sans les noyer et les ennuyer avec de l’enfumage hyper ampoulé.
Voyez-vous engoncés dans votre médiocrité et votre bassesse. La providence s’est refusée à vous plaire en exauçant vos souhaits démoniaques. Assassins en esprits et criminels en intentions comme un boomerang vos désirs funestes vous frapperont avec une violence à l’exponentielle.
Hier, c’est l’autre bridé des charbonnages qui voit BLA partout dans ses cauchemars et lubies de xénophobe perdu. Aujourd’hui c’est à vous de prendre le relais avec vos fusils nocturnes et diurnes mais hélas tous vos sombres desseins ne concourent qu’à une chose. Blinder BLA dans sa santé et renforcer davantage son aura. Je vous quitte sur cette citation… la haine est la forme la plus subtile de la violence car elle blesse celui qui hait et non le haï. Au fait BLA se porte comme un charme. Bande de vampires assoiffés de sang et vlan!