Celui-ci est mon émissaire, je l’ai choisi, écoutez-le a dit Ali Bongo Ondimba aux Gabonais du Haut Ogooué
Par Teddy Ossey
Le Haut Ogooué nous a beaucoup donné il nous revient de donner beaucoup au Haut Ogooué. En disant cela au nom du Distingué Camarade Ali Bongo Ondimba, Brice Laccruche Alihanga trace une perspective qui va au-delà de la circonstance et de l’instant présent.
La portée de cette exhortation est à comprendre de manière globale si ce n’est transversal pour tout le Gabon. De dire le postulat de l’échec de certains avec la mise en relief de ceux qui font ce qu’ils peuvent. En missi dominici, le directeur de cabinet du distingué camarade fait entrevoir l’alternative obligatoire de la concrétisation des engagements et la réalisation des projets. Ici encore, une appropriation à dimension nationale doit faire écho à ses propos.
En une tournure simple mais combien expressive, il rassure car il est désigné par Ali Bongo qui le sait pragmatique, stakhanoviste, pétri d’exigence et de rigueur. En parlant aux sœurs et frères du Haut Ogooué nous pouvons aisément tracer une parallèle avec la célèbre maxime de Victor Hugo dans les contemplations: « Quand je parle de moi, je vous parle de vous ». Certes la connotation ici n’est point sentencieuse.
L’essence du message de Brice Laccruche Alihanga se défini par la volonté de toujours faire mieux, de viser toujours plus haut et de toujours penser le Gabon en Grand. Il a pris sur lui de donner corps aux aspirations et aux souhaits d’excellence du Président Ali Bongo Ondimba et chaque jour qui passe une amélioration conséquente est constatée par les gabonaises et les gabonais. Sa propension à ne viser que le meilleur lui vaut aujourd’hui l’estime du plus grand nombre de nos compatriotes. Conduire et initier des réformes n’est pas toujours le gage absolu pour la popularité mais pourtant les faits sont éloquents et convaincants.
Au populisme niais et candide, il a choisi l’action et le dynamisme pour magnifier le devenir du Gabon. En somme nous pouvons affirmer sans crainte d’être contredit que la parole de Brice Laccruche Alihanga est performative.