Nous sommes tout à la fois dans un western spaghetti et dans un road movie de série B. Le script autant que le scénario sortent d’esprits atteint de schizophrénie et de frustration pulsionnelle. Toute cette haine déversée comme si la propitiation espérée leur donnera l’absolution par le scalp du blanc en offrande. En usant de tous les superlatifs et même en leur donnant un coefficient élevé à l’exponentiel.
Par : Teddy OSSEY
Force est de reconnaître que rien mais absolument rien n’atteint les détestables sommets de la honte et l’indicible opprobre jeté sur la personne du Directeur de Cabinet du chef de L’Etat. Plus étonnant encore est ce mutisme complice et cette retenue toute aussi coupable qui fait que malgré la fange et le nauséeux qui inondent les réseaux sociaux. Point de réaction officielle qui vienne crier halte et s’opposer à cette cabale cloaque.
Quelle est la pertinence qui justifie et motive la souillure sur sa famille? Comment comprendre que la diffusion de l’acte de mariage de ses parents conduise au bûcher ou à l’immolation. Est-ce-qu’une quelconque différence capillaire ou une couleur de peau particulière sont des actes de sédition qui valent le bannissement et les foudres inquisitrices à Brice laccruche Alihanga.
L’hérésie ne serait-elle pas sa loyauté et sa fidélité au Président Ali BONGO. Contre ceux qui voulaient scarifier notre corps social de scories répugnantes et révoltantes. Le Directeur de Cabinet s’est opposé en rempart alors faisant appel à leurs plus bas instincts voire aux plus vils. Ils ont crié à la profanation. Cachés par l’anonymat confortable qu’offre la toile. Des escadrons de la haine ainsi que des hordes de la vindicte sont lâchés.
Désormais Brice Laccruche Alihanga est vilipendé et diabolisé à souhait. Avec jubilation et bien tapis dans l’ombre les tartufes donneurs d’ordre se délectent de cette ignominie. A bien y regarder. C’est le pouvoir discrétionnaire du Chef de l’Etat qui est ainsi visé par ces censeurs et nouveaux croisés de l’absurde et de l’irrévérence.
Qu’on se le dise et pour que cela serve. Monsieur Brice Laccruche Alihanga ne s’est pas auto désigné Directeur de Cabinet du Président de la République. Il n’est pas à ce poste par effraction mais bien par la volonté exclusive du Chef de l’Etat Ali Bongo Ondimba parce que certains l’avaient voulu malléable et flexible selon leurs humeurs et ambitions. Ils déversent aujourd’hui leur bile avec hargne et insolence. Tous les outrages, abus et excès sont de mise. Nous sommes dans un rituel sacrificiel pour cause de blasphème totémique. Surtout ne riez pas. Le Directeur de Cabinet est voué aux gémonies pour avoir empêché des sordides desseins de se réaliser.
D’avoir sauvé le Gabon du chaos et de l’irréparable. De s’être dressé aux devant des conspirateurs et des félons en préservant son chef avec détermination, dévouement et abnégation. Vous en faites le cathare que l’on doit absolument immoler. Honte à vous pour ce triste et lamentable spectacle que vous offrez. Sachez que ce n’est pas par l’injure, ni par l’offense que vous parviendrez à vos fins. A moins que cette posture méprisable soit votre seule consolation. Diantre que vous êtes pathétiques !