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David Malpass Afrique

David Malpass Afrique

L’Afrique au cœur des préoccupations de la Banque mondiale

Le nouveau président de la Banque mondiale, l’Américain David Malpass, nommé par Donald Trump, donne sa vision pour l’Afrique, trois mois après son investiture. Ce continent va concentrer l’essentiel de la pauvreté dans le monde à l’horizon 2030, estime-t-il.

La Rédaction

Selon les chiffres de la Banque mondiale, un milliard de personnes sont sorties de la pauvreté depuis 1990, des millions d’autres ont pu accéder à l’eau potable et l’éducation. Mais selon le nouveau président de la Banque mondiale, l’Américain David Malpass, l’essentiel de la pauvreté dans le monde se concentrera sur l’Afrique à l’horizon 2030.

Augmentation de l’espérance de vie, baisse de la mortalité infantile et maternelle, meilleure éducation… Le bilan de la Banque mondiale est globalement positif, assure David Malpass. Mais il y a toujours 700 millions de personnes vivant dans l’extrême pauvreté: « 700 millions de trop », a-t-il déploré.

L’ancien sous-secrétaire au Trésor américain, qui a ouvertement critiqué la Banque mondiale alors qu’il œuvrait encore au sein de l’administration Trump, s’est donné pour objectif d’améliorer l’efficacité de l’institution. Vis-à-vis des pays africains accusant une lourde dette héritée des erreurs du passé, il entend encourager « les bonnes politiques », « un élément clé » pour attirer les investissements privés.

Cependant, la pauvreté va continuer à augmenter en Afrique subsaharienne, pense-t-il. Les projections montrent que d’ici 2030, près de 9 personnes sur 10 vivant dans l’extrême pauvreté seront originaires de cette région du monde, alors que la population du continent va s’accroître dans le même temps de 1,3 milliard, soit plus de la moitié de la croissance de la population mondiale. La population africaine en âge de travailler devrait passer de 705 millions de personnes en 2018 à près d’un milliard d’ici 2030, selon la Banque africaine de développement (BAD). Ce qui peut être une chance si elle trouve à s’employer et produire de la richesse.

Aujourd’hui, dit-il, « je souhaite que la Banque mondiale soit de plus en plus efficace » en se concentrant sur la qualité des projets susceptibles d’être financés, sur les résultats à atteindre, sur la lutte contre la corruption qui mine le potentiel de croissance de certains pays.

Certes, la Banque peut contribuer à y réduire la pauvreté dans le cadre de programmes facilitant, par exemple, la pleine intégration des femmes dans l’économie et des filles dans le système éducatif. Mais les projets doivent s’appuyer sur « un solide cadre juridique permettant le lancement d’entreprises, l’acquisition des compétences nécessaires pour occuper les emplois créés », observe le présiden de la Banque mondiale.

De plus, préconise-t-il, il faut faciliter les échanges, le commerce transfrontalier, la flexibilité des prix et la concurrence avec les entreprises publiques. « Bien entendu, tout ceci est en réalité très difficile à mettre en œuvre », concède-t-il, notamment parce que ces pays accusent une dette colossale.

Dans une volonté d’efficacité, « l’approche consiste désormais à écouter les pays, à identifier les programmes susceptibles de porter leurs fruits, en reconnaissant que chaque pays présente des difficultés particulières »,explique le dirigeant. Il peut s’agir d’un problème de contrôle des prix et des marchés, d’un environnement peu attrayant pour les investisseurs privés, d’entreprises étatiques qui entravent la concurrence ou de blocages dans les échanges commerciaux.

Au côté du développement de l’Afrique, le problème de migration des populations, fuyant les effets du changement climatique ou les conflits armés, est l’autre « énorme défi ».

« Idéalement », ces pays « doivent se doter de meilleures politiques pour inciter les gens à rester », notamment les jeunes, ressources vitales pour leurs économies. « Cela est particulièrement important pour le Sahel, qui génère des millions de migrants », souligne David Malpass.

« Il est fondamental que la Banque mondiale travaille avec ces pays pour améliorer les conditions de vie », poursuit M. Malpass tout en reconnaissant que de lourds investissements ne sont pas toujours synonymes de réussite. « Des sommes énormes ont été mises à la disposition d’Haïti et les résultats ont été décevants », convient-il. « C’est un échec des politiques de développement et des différents gouvernements d’Haïti ».

  Source:franceinfo

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