Hier dimanche 13 décembre 2020, le Cercle des patrons de la presse privée en ligne (CPPPL) a tenu une conférence de presse pour sa sortie officielle. Cette sortie a eu pour objectif de défendre les intérêts des médias en ligne et contribuer à leur essor.
Par Franck Mohamed
Le président du Cercle des patrons de la presse privée en ligne du (CPPPL), Thierry Mebale Ekouaghe, n’a pas manqué de félicité l’organisation dont il représente pour leur participation à la dernière commission de la répartition d’aide à la presse. Il s’est montré heureux pour la croncretisation du travail mené et a salué l’implication des autorités qui ont attribué la subvention à tous les postulants. “Un geste que nous saluons tout comme nous nous réjouissons de la disponibilité d’être à l’écoute des patrons de presse, des journalistes et des commentateurs. Des autorités toujours disposées, car c’est la première fois de voir la tutelle ne ménager aucun effort pour le bien des uns et des autres”.
En ce qui concerne la répartition de la subvention, M. Thierry Mebale Ekouaghe, a dit sa satisfaction de ce que la commission a enregistré la présence de quatre partenaires sociaux pour une première fois et ce, grâce à la confiance qui s’est durablement installée.
Par ailleurs, le président du Cercle des patrons de la presse privée en ligne (CPPPL), Thierry Mebale Ekouaghe, a mis le vœu que le montant actuel de 125 millions de francs CFA, passe à 500 millions, comme ce fût le cas dans les années antérieures. « À cela s’ajoutent des formations dans la gestion de nos entreprises de presse, de la recherche de la publicité et à la formation des journalistes”.
Cette fédération des patrons de médias en ligne est une actrice importante dans la défense des droits des médias privés en ligne, afin d’apporter une plus value qualitative dans le secteur.
A ses confrères, Thierry Mebale Ekouaghe, lui qui est un journaliste engagé et soucieux du bien être de ses collègues, n’a pas manqué de les encourager à être des exemples pour le bien de la corporation, ainsi qu’à être des modèles afin de ne plus ternir l’image de la corporation.