L’on est en droit de se poser cette question au regard du tir groupé actuel émanant des organisations non gouvernementales et même de la très respectable commission des droits de l’homme de l’organisation des nations unies.
L’encre grasse et épaisse de la souillure déversée sur le Gabon par human right watch n’avait pas encore séchée. Voilà qu’un surprenant rapport de l’ONU sur ces supposées privations et conditions ignominieuses de travail dans la zone économique de nkok fait déjà le tour du monde.
Les grands médias s’en emparent. En font leur une et étalent leurs choux gras. Le Gabon est si vendeur ces jours-ci, quitte à racoler et à fabuler. Nuire et absolument nuire à tout prix tel est le leitmotiv qui fonde cet acharnement inqualifiable. Nous, nous situons au- delà de la simple intention mais bien dans la matérialisation même de cette sordide campagne d’intoxication.
Les termes choisis pour édifier et choquer sont d’une telle violence. On parle d’esclavage, de privation de liberté personnelle, de travail forcé et de toutes sortes de maltraitance. Il est avancé le chiffre de 40.000 indiens qui vivraient dans des conditions indignes et misérables.
Une fois ce tableau de l’indécence noircit à souhait. Une question se pose. Sachant tous ces excès et abus existant comment les responsables de la ZES ont-ils donné carte blanche à ces inquisiteurs onusiens et à d’autres. Il y a là un paradoxe qui ne s’explique pas.
Au regard de tous les drames qui se jouent à travers le monde. Le cas de la zone économique du Gabon est si préoccupant et voire même si inquiétant au point de retenir et de cristalliser l’attention des Nations Unies.
Le Yemen se meurt dans l’indifférence générale, les Syriens sont décimés par milliers, la somalie est en déperdition absolue depuis plus de vingt ans et je ne parle même pas de la Libye et de son corollaire dans l’horreur le Mali. Broutilles et balivernes que tout cela, il faut indexer le Gabon.
Le vilipender et le souiller de telle sorte que plus aucun investisseur ne s’y rende. La manœuvre est grossière et absurde. Tout ceci cache un sombre dessein. Le peuple gabonais est lucide et vigilant. Il saura faire rempart contre vos assauts abjects et vils.
Et pour finir, où étiez – vous lorsque le Gabon condamnait des trafiquants d’êtres humains à plus de deux décennies de réclusion. Là aucun rapport, ni hourra d’encouragement. Votre belle construction chimérique fera flop. La zone économique de Nkok est déjà le premier hub mondial de bois tropicaux et d’autres performances viendront bientôt l’illuminer.