Il fallait s’y attendre les vapeurs du Kwanza ont fini par atteindre le métabolisme de l’activiste auto proclamé Jonas Moulenda. Tous les scientifiques sont pourtant unanimes l’usage de ces produits éclaircissants et décapitants demeure d’une toxicité à nulle autre pareille.
Par Obame D’EBOMANE
A force de se frotter frénétiquement de l’Ambi, les neurones de ce compatriote égaré se sont fait la belle. Le reclus des bords de seine souffre désormais du syndrome du martyr bien connu des psy. Au fil des jours on le voyait dériver et chaque jour davantage un peu plus borderline. De bipolaire l’activiste est devenu dans son délire psychotique un persécuté des djins et d’autres entités qui peuplent son imaginaire en manque de sensationnalisme. Dans son vampire il se voit en Alexandre Litvinenko ce russe empoisonné au polonium à Londres par le FSB.
Dans son esprit troublé et perturbé, il se taille aussi une stature comparable à Julian Assange mais également à Edward Snowden. Mégalo et mytho, l’oisif de paname se fait des films mais qui se soucie de ses vomissures abjectes. Il est et restera insignifiant sans épaisseur ni densité. Pauvre ectoplasme pathétique et bouffon avec ça!