Un temps nous avons eu la naïveté de croire que certaines pratiques et comportements répugnants allaient s’éteindre avec la survenue de l’ére nouvelle portée par le Comité pour la Transition et la Restauration des Institutions.
Par Obame D’EBOMANE
Refusant de désespérer de l’humain, nous gardions bon espoir que cette secousse sismique du 30 août allait générer un renouveau impactant et inspirant notamment sur les mentalités. Mais que nenni ! Nous retrouvons hélas, sur la toiles des éructations d’une inconvenance abjecte de même que d’une absurdité lénifiante.
Nous aimerions savoir l’intérêt et tout aussi être édifiés sur le fait que tel compatriote officiant au Cabinet du Président de la Transition aurait dans sa sphère intime et privée des amitiés. Nous doutons que pareille argutie apporte quoique ce soit à la bonne marche de la transition, ou que cela pourrait s’avérer handicapant ou entraverait de quelque manière la réussite des objectifs visés.
Nous restons franchement frappés de stupéfaction, quand on prend sur soi d’en appeler à la vigilance du président de la Transition sur les faits d’alcôve d’une de ses collaboratrices. On feint de trouver de supposés parallèles avec ce qui se faisait hier.
La frustration et l’aigreur ne peuvent trouver récompense par la calomnie et la diffamation. Il serait bon que tous ces refoulés et ramollis du bulbe et pas que, sachent que le Gabon nouveau qui s’éveille sous nos yeux exige hauteur et dignité. Bassé!