Nous sommes frappés de stupéfaction par ceux là qui se revendiquent être des activistes ou des lanceurs d’alerte selon la saveur de leur thé du matin.
Par Teddy Ossey
Nous aurions aimé savoir ce que cette horde de braillards au verbe haut a déjà accompli. S’en prendre à bras raccourcis aux autorités de la Transition en abreuvant le Général Oligui Nguema et l’économiste Ndong Sima de propos désobligeants mais étant bien à l’abri derrière les claviers.
Grands Dieux! Si le Comité pour la Transition et la Restauration des Institutions ne s’était pas levé et mettre un hola à la situation que nous connaissions et subissions sans dire mot. Et bien nous serions sans point en douter entrain de ployer sous le joug de la young team en courant derriere les expédients que la légion étrangére du haut de son arrogance nous distribuait avec condescendance et nous, nous en contentions piteusement toute honte bue.
Alors, nous posons une question simple où étaient tous ces preux salafistes à l’invective facile? La révolution tunisienne est partie d’un citoyen du nom de Mohammed Bouazizi qui s’était imolé pour manifester son refus à la soumission et à l’arbitraire. C’est d’ici que les Bertrand Nzibi, Geoffroy Foumboula, Jean Gaspard Ayi, Pascal Oyougou, Marcel Djabio, Aminata Ondo, Norbert Epandja et tant d’autres se sont levés bravant tous les dangers et prenant tous les risques sans monnayer la sanction suprême qu’ils en couraient.
Et voilà qu’une fois la libération acquise, une colonne d’olibrius incon séquents et sots se permet l’outrecuidance de trouver à redire. Simplement restez dans vos terriers comme les rats que vous êtes pathétiques et pitoyables. Ce que vous n’avez pas conquis par le courage, vous l’aurez pas par le Chantage. Bassé !