Qu’est-ce – qu’il faut de patience, d’abnégation et de patriotisme, pour accepter les élucubrations, ainsi que, les jacasseries absurdes, de l’ultra kwanzé des réseaux sociaux Jean Rémy Ngono.
Par Teddy Ossey
Conforté par la distance qui le sépare, de ceux sur qui, il verse sa bile. Alors sa frustration, sa haine et ses inhibitions vont se déverser en flots continus. La décence voudrait que l’on fasse peu de cas, de ses vomissures de refoulé pathologique.
D’ailleurs dès l’instant, qu’il s’est choisi un lieu particulièrement évocateur, à partir duquel il donne libre cours à son esprit troublé et ses fantasmes. On comprend aisément, que tout s’emmêle dans sa tête : voyeurisme, divagation et schizophrénie.
Voilà, cet huberlulu pris dans sa paranoïa, qui s’en va nous conter une fable abracadabrantesque, d’une réunion au cours de laquelle les déjà tenants du pouvoir, font ourdir un coup d’état contre eux-mêmes. Non, l’embrouille ne vient pas de nous, mais des délires, que sert ce chien galeux à l’esprit tourmenté et au cerveau endommagé, par les émanations nocives des produits éclaircissants.
Dire combien pathologique est son cas, est chose facile à vérifier. Tout au long de sa diatribe sotte, il n’a eu de cesse de vilipender les dirigeants d’un état voisin. Le voilà, désormais auréolé de la couronne insensée, de panafricaniste de la bêtise et de la stupidité. Rassurez-vous, personne, ne lui en tiendra rigueur.
Sa démence, autant, que la vacuité de ses affabulations, ne conduisant qu’à l’inconsidération et la méprisable insignifiance, qui sont son lot. Une fois encore, nous, nous demandons si la dépigmentation de la peau ne perturbe pas son ciboulot ?