Hier à Kango, le Général Président s’est élevé avec fermeté et véhémence envers la faune inconséquente qui se veut être des activistes, un substantif fourre tout qui s’illustre par l’absurde, l’outrance et l’outrage. Nous sommes consternés de voir le Chef de l’État dans ce rôle véritablement à contre emploi de ce qui est de sa stature et de sa prééminence. Mais pouvait-il en être autrement? Lorsque tous les échelons qui devraient agir et sévir sont aux abonnés absents.
Par Obame D’EBOMANE
Nous le disions déjà. Il ne revient pas à Oligui Nguema d’essuyer les plâtres, quand tant de » nommés » ont la charge légale et la responsabilité régalienne d’opposer à cette cohorte d’ irrévérencieux, qui s’affranchissent volontairement de toute morale et de tout respect. C’est le lieu de sortir tout l’arsenal juridique, qui devrait et les confondre et surtout les condamner. Car, tous ces olibrius pensent disposer du monopole de l’arbitraire et de l’infamie. Il est plus que temps de dissoudre cette aberration qui fait de ces « gnacoués » ectoplasmiques, un sujet de préoccupation pour un Chef de l’État, dont l’auréole est au firmament de par ses actes et sa vision.
Il faut aussi à la vérité reconnaître que l’outrecuidance dont font montre ces factieux vient du fait, qu’ils sont les relais et les caisses de resonnance de nombre de personnalités tapies dans les cercles du pouvoir. Ces donneurs d’ordres, qui alimentent ce jeu abjecte de ventriloquie doivent être dénoncés et subir la rigueur de la loi. Il revient à tous dans la chaine de décision du pouvoir, d’exempter le Président de la République de descendre dans la fosse de l’indécence. Parce que vous êtes là. Alors faites votre job et méritez la confiance placée en vous.