La chapelle de Louis multiplie les rencontres et concertations mais la réalité des faits est que ces gesticulations ne sont guére des signes d’une vitalité retrouvée mais simplement des soubresauts symptomatiques et des spasmes de contraction d’une vie qui s’en va. Ce jeu de poker menteur ou l’on veut se donner l’impression d’être encore présent et de compter dans la distribution des cartes du jeu actuel est une utopie.
Par Obame D’EBOMANE
Les personnalités cooptées par les autorités de la Transition ne le sont point par le label du parti démocratique gabonais. Le choix sur eux porté obeit à d’autres critéres ainsi qu’à des affinités et des proximités qui relévent d’autres accointances. À ce jour et même à jamais le parti démocratique gabonais est perdu de réputation.
Le simple fait qu’on en parle encore aujourd’hui est le fruit de l’interruption du processus électoral au soir du 30 août 2023. Il est de notoriété publique que le parti d’Ali Bongo n’avait pas perdu les élections mais qu’il avait été simplement jeté aux orties et littéralement écrasé par les véritables suffrages issus des urnes.
Alors, les gesticulateurs d’aujourd’hui qui pensent qu’au travers de la Transition le pdg ressusciterait ou se ferait miraculeusement une cure de jouvence eh bien! chers camarades cela s’appelle une hérésie. Repabtiser ou renommer le parti n’apportera rien. Ce machin n’est pas dans le coma mais dans une irrémédiable putréfaction.
La mort du pdg a été définitivement actée par le peuple gabonais dans sa majoritè et à l’unanimité par la joie, l’exaltation et les réjouissances débordantes qui ont salué la venue salvatrice et libératrice du Comité pour la Transition et la Restauration des Institutions. Le chant du cygne de même que l’hallali ont résonné.