Tel Don Quichotte Pierre Claver Maganga Moussavou, s’est lancé dans une étrange et surprenante croisade. Il n’a pas encore fini avec l’embarrassante et honteuse supplique faite au Chef de l’Etat, afin de recaser son fils. Voilà, que le bouvier de moutassou décide de charger la Cour Constitutionnelle de tous les péchés d’Israël. Pour le recordman des échecs aux élections présidentielles, en six participations le Patron du PDS n’a récolté que bérézina et moquerie populaire.Nous avons encore tous en mémoire la triste et ridicule récolte de 2016 avec 0,32% des suffrages exprimés.
Par Obame D’EBOMANE
L’ex vice-président évincé a dernièrement au cours d’un point de presse, ce qui semble être devenu la manière, qu’il a trouvé pour tromper l’oisiveté et l’ennui, fustigé avec véhémence la Cour Constitutionnelle qui selon lui ne jouerait pas son pas rôle. Pris dans ses délires psychotiques et avec hargne, il va réduire le rôle de la Vénérable institution en un rempart, qui ne servirait qu’à perpétuer et à protéger le pouvoir.
Un fatras de dénonciations et d’accusations jetées avec précipitation, et sans être étayées par la moindre preuve.
Rappelons à Mag’mouss, que ce sont les électeurs qui choisissent parmi les prétendants au Saint graal, celui le plus à même d’assumer cette charge. S’il sent que cette septième tentative connaitra le sort des précédentes, alors qu’il jette tout simplement l’éponge. Invectiver à outrance la Cour Constitutionnelle est un faux fuyant de même qu’une pathétique fuite en avant, qui ne pourront abuser personne. L’autre l’a dit 2023, arrive à grands pas.
L’ équation est simple y aller ou pas? Le verbe haut, la gouaille et les faux prétextes ne font pas le suffrage.